Immigration afro-musulmane en France

L’immigration afro-musulmane en France peut s’analyser en trois vagues. Là encore la désinformation et l’ignorance sont au rendez-vous.

La première vague (1955 – 1970) est celle des appels d’une main d’oeuvre d’aide à la reconstruction du pays (mines, BTP). Elle concerne moins de 400.000 hommes, dont beaucoup sont repartis finir leur jour au pays. Ceux qui sont restés sont ces vieux toujours dignes assis le soir sur des bancs dans nos jardins publics.
La seconde vague, c’est celle du regroupement familial, celle aussi des premières naissances en France. Il s’agit clairement pour le patronat de l’automobile et du BTP de peser sur les salaires et de casser l’unité de la classe ouvrière. Là où le Japon a misé sur les robots, notamment dans l’industrie automobile, la France va miser sur les arabes et les noirs. Cependant le respect des arrivants pour le pays qui les accueille et leur désir d’assimilation restent largement présents. Le racisme envers eux est peu développé et a encore un côté paternaliste[1], somme toute bon enfant.

Par rapport à la démigration de ces deux premières[2] vagues, l’intégration pour ceux qui souhaitent rester est possible, de même que la coexistence pacifique et temporaire pour les indécis. La société française est ferme, elle croit en elle-même, elle est une référence mondiale et ses élites politiques, économiques sont toujours des élites culturelles. Le système éducatif n’a pas encore été totalemement détruit par le gauchisme[3].

La dernière vague est celle voulue par le Parti Socialiste[4]. C’est celle de l’incitation à l’invasion par régularisations massives[5] avec octroi de droits sans cesse plus nombreux et absence planifiée de devoirs. Pour les deux premières vagues, celles de la main d’oeuvre et du regroupement familial, il y avait au moins une correspondance économique[6]. A partir de la troisième vague et jusqu’à aujourd’hui nous sommes dans une démarche dogmatique coupée des réalités, de toutes les réalités, à commencer par la sociologie des peuples.

Pour les deux dernières vagues, regroupement familial et incitation à l’invasion, les troubles motivations de la gauche bobo et de la droite affairiste se joignent dans la détestation de l’âme française, rebelle à l’anglicisation et à l’européisation forcenées. L’immigration est utilisée comme moyen supplémentaire de destruction de la cohérence nationale[7] qui est un frein à leur pouvoir hédoniste et millénariste[8].

1/ ce qui ne l’exonère pas et n’exclut pas non plus des formes plus intolérables. C’est d’ailleurs l’affaiblissement de la tendance raciste du Front National qui à permis à Jean-Marie Le Pen de parvenir au second tour de l’élection présidentielle de 2002.
2/ se souvenir qu’a cette époque la première communauté émigrée en France est celle des Portugais
3/ qui était déjà au service des forces réactionnaires du « libéralisme »
4/ et les malfaisants patentés du genre Bergé, Lang, Attali…
5/ la part d’immigrants n’ayant aucun lien avec notre culture augmente
6/ soit dans la satisfaction de besoins en main-d’oeuvre soit dans la capacité d’absorption
7/ il est notable de constater que les envahisseurs musulmans de la Tunisie, et de la seconde occupation de l’Andalousie ont eu recours à un procédé similaire pour désorganiser et appauvrir les sociétés chrétiennes qui leur résistaient
8/ pour ces gens-là le Peuple pense trop, vote mal et sent la sueur, il faut donc l’anéantir, le dissoudre, par exemple en le submergeant par un autre qui, dans l’idéal, ne pense pas et ne vote pas. Les peuples musulmans, en grand déficit culturel et peu habitués à voter, sont dès lors le meilleur choix.

Une Réponse to “Immigration afro-musulmane en France”

  1. Excellente syntèse !

    Et qui a mis au point cette loi sur le regroupement familial qui a transformé une immigration de travail en une immigration de peuplement. Chirac ! Il porte donc une responsabilité historique terrible ! Il est doublement leur père car il est à l’origine du mouvement black-blanc-beur qui l’a aidé a être élu. C’était leur victoire mais maintenant le roi est nu. Quels étaient les drapeaux place de la république qui flottaient le jour de l’élection ? Peu de drapeaux français mais des drapeaux du sud de la Méditerranée. Et pour la 1ère fois depuis 30 000 ans, nous sommes dans une situation de guerre car se trouve posé un problème de changement de population. Problème lié à ces 20 dernières années. Les indigènes de France ont-ils été consultés sur le fait qu’on change la population de France ? La réponse est non ! Nous sommes donc dans une situation révolutionnaire.

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